CORONA VIRUS, COVID 19 ou L’ENNEMI INVISIBLE…

Comment un agent microscopique porteur d’une séquence succincte de code ADN ou ARN, qui n’est même pas considéré comme une entité vivante à part entière, a-t-il réussi ce qu’aucun des acteurs de notre réalité habituelle (leaders, groupes, actions collectives, etc), n’a jamais pu accomplir : stopper en quelques jours la marche du monde… ? 

Alors oui, les codes ont envahi notre quotidien, c’est la langue de notre vie numérique,  nous nous sommes vite habitués à surfer sur ces milliards de lignes de code qui nous relient les uns aux autres sur la planète. Mais les codes ne sont pas la panacée de cette nouvelle ère, l’inconscient tout comme l’âme se sont toujours exprimés de façon codée. Les mots, les images et les scénarios sont comme des clefs, des codes qui ouvrent et ferment l’accès au sens profond de nos expériences de vie. Tout comme l’évoque l’adage d’Hermès, dans sa Table d’Émeraude : « ce qui est en haut est comme ce qui est en bas et inversement », la précieuse langue des oiseaux utilise cette lecture analogique pour révéler la signification de notre vécu caché sous les apparences. Alors utilisons cette belle langue oiseau pour observer cette situation mondiale inédite et mieux comprendre l’expérience qui se présente à nous. 

Mais qui est donc ce fameux agent invisible ? La définition d’un virus, contient déjà des clés : « Le VIRUS est un PARASITE, ce n’est pas une entité biologique autonome. Il a besoin de s’installer dans une cellule hôte pour se multiplier. Dès que le virus est entré dans un corps, il cherche à parasiter une cellule de cet organisme en se collant à la membrane de celle-ci, pénètre à l’intérieur, libère son matériel génétique et une fois installé en son sein, va FORCER LA CELLULE à utiliser ses ressources pour fabriquer des centaines de copies du virus qui vont s’accumuler à l’intérieur d’elle. Les cellules parasitées sont donc détournées de leur fonction originelle, elles ne servent plus que le programme parasite, jusqu’à ce que le poids des copies du virus les fasse exploser. Comme les virus utilisent la machinerie cellulaire de l’hôte pour se reproduire à l’intérieur même de la cellule, il est alors difficile de les éliminer sans tuer la cellule hôte».

Ne trouvez vous pas là une étrange ressemblance avec la duplication vertigineuse de l’agent Smith dans la célèbre trilogie des « Matrix » ? Je vous rappelle ici une de ses phrases cultes : « Les humains sont une maladie contagieuse, le cancer de cette planète, vous êtes la peste et nous, nous somme l’antidote. Nous ne sommes pas ici parce que nous sommes libres, nous sommes ici parce que nous ne le sommes pas». Un trésor de perversité, n’est ce pas ? Voilà donc, le scénario qui  commence à se dessiner en filigrane, comment une entité vivante, se fait envahir par un programme parasite sans existence propre, qui la détourne de sa nature originelle, s’empare de ses ressources vitales pour se démultiplier et finir par la tuer. 

LE SOUFFLE DE LA VIE MENACÉ 
Le fait que ce virus porte atteinte à la respiration va dans le même sens. Au-delà de nos différences, du 1er au dernier souffle de notre vie, ce que nous ne cessons de partager, est bien cet air chargé de Prâna, de Chi, mais aussi de présence, la notre et celle des autres formes de vie, ce SOUFFLE primordial qui nous traverse, circule d’être en être au rythme de nos INSPIRE/EXPIRE. C’est bien ce RESPIRE qui nous relie les uns aux autres, à l’Esprit qui anime toute la Création et qui nous inspire tout le long de notre expérience sur Terre. Dans la langue des oiseaux, le mot VIRUS, peut aussi se lire : VIRE (changement de direction) - US (« nous » en anglais), ce qui confirme ce que nous sommes de plus en plus nombreux à ressentir,  l’humanité toute entière est bel et bien arrivée à un tournant, confrontée à un défi majeur, quelle direction allons nous prendre ?  Allons nous nous laisser détourner de notre nature primordiale ou allons nous lui donner les rennes pour sortir de ce piège ? Pour faire un choix constructeur, nous devons d’abord bien saisir ce qui se joue…

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